mercredi 30 décembre 2015
Côté cuisine : recette
recette simple réalisé avec les légumes de la maison, voir sur la photo.
Laver, éplucher, et couper les légumes en petits morceaux.
Les disposer sur le plateau légèrement huilé.
Plus un petit morceau de lard.
Cuire une demi heure à 180°.
Bon appétit !
Laver, éplucher, et couper les légumes en petits morceaux.
Les disposer sur le plateau légèrement huilé.
Plus un petit morceau de lard.
Cuire une demi heure à 180°.
Bon appétit !
mercredi 23 décembre 2015
Peintures Noël 2015
Miettes de nuages, ou comment offrir du nuage.
Miettes de nuages (1/6)
Miettes de nuages (2/6)
Miettes de nuages (3/6)
Miettes de nuages (4/6)
Miettes de nuages (5/6)
Miettes de nuages (1/6)
Miettes de nuages (2/6)
Miettes de nuages (3/6)
Miettes de nuages (4/6)
Miettes de nuages (5/6)
Miettes de nuages (6/6)
Peintures fin d'année 2015
Peintures sur papier réalisés fin 2015
Chaos organisé (4/11)
Chaos organisé (7/11)
Ébauche du temps présent (1/3)
Ébauche du temps présent (2/3)
Ébauche du temps présent (3/3)
Flaque de temps
Fragments de mémoire (2/9)
Fragments de mémoire (8/9)
Rugissements
Chaos organisé (4/11)
Chaos organisé (7/11)
Ébauche du temps présent (1/3)
Ébauche du temps présent (2/3)
Ébauche du temps présent (3/3)
Flaque de temps
Fragments de mémoire (2/9)
Fragments de mémoire (8/9)
Rugissements
jeudi 8 octobre 2015
Peinture
Images de mes
retrouvailles avec quelques couleurs et du papier dans un coin de la
planète ; les titres pourraient être : « surgissant
du vide », pour les 4 premières et « les murs du
temps » pour les 4 autres.
Racines rondes
Entretiens
avec quelques racines errantes évoluant dans les marges lumineuse
d'une chorégraphie culinaire de notre cuisine.
mercredi 30 septembre 2015
Laogai, le goulag chinois, Zwangsarbeit in China
Laogai, le goulag chinois,
Zwangsarbeit in China
Film vu sur Arte, réalisé par Hartmut Idzko en 2014, HD, 16/9
J'invite mes amis et autres flâneurs à voir ce documentaire sur les suites de la révolution chinoise qui sont différentes des affiches de propagande des années 1950 à 70, et on peut toujours s'interroger sur ce qui se passe chez nous où tout est si tranquille.
Les textes qui suivent sont copiés-collés du programme de ARTE
Laogai, le goulag chinois, Zwangsarbeit in China
In China existieren gegenwärtig etwa tausend Arbeitslager, in denen nach Schätzungen von Menschenrechtsorganisationen mehr als vier Millionen Menschen eingesperrt sind. Viele Häftlinge sterben in den Lagern, deren Methoden an die der Nazis erinnern. In der Dokumentation geben ehemalige Häftlinge schockierende Einblicke in das Leben und die Arbeit im Lager.
Aujourd'hui en Chine, il existe encore plus de mille laogai, ces camps de "rééducation par le travail". Près de quatre millions de personnes, parfois arrêtées sur de simples soupçons – opposants politiques, dissidents, petits délinquants ou militants tibétains –, y seraient emprisonnées, sans procès ni assistance juridique. Les laogai sont en réalité des usines immenses qui génèrent un profit considérable pour la République populaire. On y retrouve des ateliers de fabrication, des mines ou des plantations, dont la production est destinée principalement au marché étranger : ces produits made in China se retrouvent à bas prix dans nos supermarchés.
Des "hommes nouveaux"
Le réalisateur Hartmut Idzko revient sur l’histoire dramatique des laogai. Il a pu recueillir des témoignages édifiants de militants ou d’anciens détenus vivant aujourd’hui en exil : l’écrivain Liao Yiwu, arrêté après les manifestations de la place Tian'anmen, le dissident Harry Wu, emprisonné durant vingt ans pour ses positions "contre-révolutionnaires", la Tibétaine Ama Adhe, et même un ancien prisonnier américain. Tous racontent les violences, les tortures et le conditionnement politique destiné à former des "hommes nouveaux". Ils évoquent aussi les exécutions sommaires et le vaste trafic d’organes qui existent dans les laogai. À ces témoignages s’ajoutent les archives personnelles de Harry Wu, retourné filmer clandestinement sur les lieux de sa détention. Un document accablant, qui lève le voile sur les crimes d’État commis par la République populaire de Chine, et qui interroge la position ambiguë des pays occidentaux, ses premiers partenaires commerciaux.
In China existieren gegenwärtig etwa tausend Arbeitslager, in denen nach Schätzungen von Menschenrechtsorganisationen mehr als vier Millionen Menschen eingesperrt sind. Bereits 1950 ließ Mao Tsetung solche Arbeitslager errichten mit dem Ziel, Menschen ohne Gerichtsverfahren und Rechtsbeistand wegzusperren - Kleinkriminelle wie Regimegegner, bis heute geschätzt etwa 40 Millionen Chinesen, also mehr Menschen als in Stalins Gulag und Hitlers Konzentrationslagern zusammen. Die Schilderungen entlassener Häftlinge über die Zustände in den Arbeitslagern erinnern an die Methoden der Nazis.
In den chinesischen Lagern müssen die Gefangenen unter härtesten Bedingungen Waren produzieren, die auch für den Export nach Europa bestimmt sind, denn China gehört zu Europas bedeutendsten Handelspartnern.
In der Dokumentation gewähren drei ehemalige Häftlinge, Ama Adhe, Harry Wu und Liao Yiwu, schockierende Einblicke. Sie waren politische Gefangene, die keine kriminellen Delikte begangen haben. Ihre erschütternden Schilderungen werden durch geheime Videoaufnahmen aus den Lagern dokumentiert.
Die Tibeterin Ama Adhe musste 27 Jahre in Arbeitslagern ausharren und lebt heute in Indien im Exil. Harry Wu konnte mit politischer Unterstützung aus dem Westen China verlassen. Heute lebt er in Washington und leitet dort das Museum Laogai, das Belege für die Zustände in den Lagern ausstellt, Dokumente des Grauens. Ein Gedicht brachte den Schriftsteller und Musiker Liao Yiwu für viele Jahre ins Gefängnis. Nach seiner Entlassung konnte er nach Deutschland fliehen. Liao Yiwu erhielt 2012 den Friedenspreis des Deutschen Buchhandels.
Film vu sur Arte, réalisé par Hartmut Idzko en 2014, HD, 16/9
J'invite mes amis et autres flâneurs à voir ce documentaire sur les suites de la révolution chinoise qui sont différentes des affiches de propagande des années 1950 à 70, et on peut toujours s'interroger sur ce qui se passe chez nous où tout est si tranquille.
Les textes qui suivent sont copiés-collés du programme de ARTE
Laogai, le goulag chinois, Zwangsarbeit in China
(mardi 08 septembre à 23h50 (53 min) Rediffusion mardi 15.09 à 9h50)
En Chine, près de 4 millions de personnes seraient enfermées dans les laogai, camps de rééducation par le travail, dont la production est destinée à l'Occident. Traitements cruels et inhumains, exécutions sommaires ou encore trafic d'organes sont au programme de ce scandaleux système pénitentiaire. Avec les témoignages accablants d'anciens détenus qui ont survécu à l'enfer.In China existieren gegenwärtig etwa tausend Arbeitslager, in denen nach Schätzungen von Menschenrechtsorganisationen mehr als vier Millionen Menschen eingesperrt sind. Viele Häftlinge sterben in den Lagern, deren Methoden an die der Nazis erinnern. In der Dokumentation geben ehemalige Häftlinge schockierende Einblicke in das Leben und die Arbeit im Lager.
Aujourd'hui en Chine, il existe encore plus de mille laogai, ces camps de "rééducation par le travail". Près de quatre millions de personnes, parfois arrêtées sur de simples soupçons – opposants politiques, dissidents, petits délinquants ou militants tibétains –, y seraient emprisonnées, sans procès ni assistance juridique. Les laogai sont en réalité des usines immenses qui génèrent un profit considérable pour la République populaire. On y retrouve des ateliers de fabrication, des mines ou des plantations, dont la production est destinée principalement au marché étranger : ces produits made in China se retrouvent à bas prix dans nos supermarchés.
Des "hommes nouveaux"
Le réalisateur Hartmut Idzko revient sur l’histoire dramatique des laogai. Il a pu recueillir des témoignages édifiants de militants ou d’anciens détenus vivant aujourd’hui en exil : l’écrivain Liao Yiwu, arrêté après les manifestations de la place Tian'anmen, le dissident Harry Wu, emprisonné durant vingt ans pour ses positions "contre-révolutionnaires", la Tibétaine Ama Adhe, et même un ancien prisonnier américain. Tous racontent les violences, les tortures et le conditionnement politique destiné à former des "hommes nouveaux". Ils évoquent aussi les exécutions sommaires et le vaste trafic d’organes qui existent dans les laogai. À ces témoignages s’ajoutent les archives personnelles de Harry Wu, retourné filmer clandestinement sur les lieux de sa détention. Un document accablant, qui lève le voile sur les crimes d’État commis par la République populaire de Chine, et qui interroge la position ambiguë des pays occidentaux, ses premiers partenaires commerciaux.
In China existieren gegenwärtig etwa tausend Arbeitslager, in denen nach Schätzungen von Menschenrechtsorganisationen mehr als vier Millionen Menschen eingesperrt sind. Bereits 1950 ließ Mao Tsetung solche Arbeitslager errichten mit dem Ziel, Menschen ohne Gerichtsverfahren und Rechtsbeistand wegzusperren - Kleinkriminelle wie Regimegegner, bis heute geschätzt etwa 40 Millionen Chinesen, also mehr Menschen als in Stalins Gulag und Hitlers Konzentrationslagern zusammen. Die Schilderungen entlassener Häftlinge über die Zustände in den Arbeitslagern erinnern an die Methoden der Nazis.
In den chinesischen Lagern müssen die Gefangenen unter härtesten Bedingungen Waren produzieren, die auch für den Export nach Europa bestimmt sind, denn China gehört zu Europas bedeutendsten Handelspartnern.
In der Dokumentation gewähren drei ehemalige Häftlinge, Ama Adhe, Harry Wu und Liao Yiwu, schockierende Einblicke. Sie waren politische Gefangene, die keine kriminellen Delikte begangen haben. Ihre erschütternden Schilderungen werden durch geheime Videoaufnahmen aus den Lagern dokumentiert.
Die Tibeterin Ama Adhe musste 27 Jahre in Arbeitslagern ausharren und lebt heute in Indien im Exil. Harry Wu konnte mit politischer Unterstützung aus dem Westen China verlassen. Heute lebt er in Washington und leitet dort das Museum Laogai, das Belege für die Zustände in den Lagern ausstellt, Dokumente des Grauens. Ein Gedicht brachte den Schriftsteller und Musiker Liao Yiwu für viele Jahre ins Gefängnis. Nach seiner Entlassung konnte er nach Deutschland fliehen. Liao Yiwu erhielt 2012 den Friedenspreis des Deutschen Buchhandels.
mardi 22 septembre 2015
Dornburger Schlösser, Thuringe
La
renaissance et les jardins à la française du « Dornburger
Schlösser » qui domine la vallée de la Saale, avec ses plans
de vigne ancrés sur de minuscules terrasses, ...
Leuchtenburg, Thuringe
De
notre fenêtre au loin le château « Leuchtenburg » à
côté de Kahla, d'où l'on a une vue circulaire imprenable ; le
groupe « Neue Schar » de Muck Lamberty y trouva
inspiration et refuge dans les années 1920.
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